Université du Québec à Rimouski
Mathieu Arsenault fait partie de la toute première cohorte d'étudiants à la maîtrise en histoire de l'Université du Québec à Rimouski (UQAR). Passionné par l'histoire du Québec, Mathieu étudie le rapport des Patriotes du Québec à la religion catholique, du point de vue des historiens.
Pourquoi avez-vous choisi d'étudier en histoire à l'UQAR?
Alors que j'étudiais au Cégep de Rimouski, des amis étudiants à l'UQAR m'ont fait découvrir l'Association des étudiantes et étudiants en histoire de l'UQAR (AEEH). J'ai été à la fois surpris et attiré par le dynamisme de la vie étudiante malgré la taille du module d'histoire. Je me suis alors inscrit au baccalauréat en histoire et j'ai rencontré ici une équipe de professeurs passionnés et généreux de leur temps, et ça, sa compte pour beaucoup dans ce genre d'études.
À l'UQAR, il est fascinant de voir à quel point les professeurs et les étudiants en histoire travaillent ensemble afin de développer des projets de toutes sortes, comme des voyages, des conférences, mais aussi le colloque étudiant Kaléidoscope et la revue historique Laïus. Même durant l'été l'activité n'arrête pas au module d'histoire. J'ai appris beaucoup en travaillant comme assistant de recherche pour mes professeurs. Cela ma même donner la chance de participer à l'organisation de colloques scientifiques, comme celui des Jeunes chercheurs en patrimoine ainsi que le colloque Joseph-Charles Taché polygraphe.
L'élément-clé qui a fait en sorte que j'ai décidé de poursuivre aux cycles supérieurs à l'UQAR est à la fois la grande liberté de recherche du programme de maîtrise en histoire et l'encadrement exceptionnel qui m'est fourni ici. En effet, si le programme comprend quatre cours obligatoires, c'est surtout le mémoire de recherche qui représente la plus grande partie du programme (30 crédits). D'où l'importance de trouver un objet de recherche en adéquation avec nos intérêts, ce que m'a offert le programme de maîtrise de l'UQAR. En plus des nombreuses ressources disponibles sur place qui vont de l'histoire de l'Antiquité au Québec contemporain en passant par l'histoire des femmes, l'histoire régionale et plusieurs autres, l'UQAR offre la possibilité d'une codirection avec l'UQÀM. Nos professeurs nous ouvrent ainsi un accès à un réseau national en recherche et sont en relation constante avec différents spécialistes de la discipline historique.
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Source :
François Cormier
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