Jean arrive en 1660 avec son épouse Marie et leur fils. Huit autres bambins naissent à l’île D’Orléans où s’installe la famille. Jean est tisserand.Pour stimuler cette activité, l’intendant Jean Talon interdit l’importation de fil de France et distribue des métiers à tisser dans plusieurs chaumières. Objectif : Que les colons soient capables de subvenir à leurs besoins vestimentaires.
Très bien fait. On y parle aussi des Biscuits Leclerc, de Québec, mais surtout de Félix Leclerc.
Le 2 août 1914, le poète et chansonnier Félix Leclerc naît à La Tuque.
[Nathalie Leclerc, fille de Félix] : « Avec sa touchante plume et sa voix, mon père a fait Le P’tit Bonheur de tous les Français et Québécois. »
C’est d’ailleurs la France, avant le Québec, qui lui apportera la consécration. Dès 1951, Moi, mes souliers reçoit le grand prix de l’Académie Charles-Cros.
Durant la Crise d’octobre 70, l’artiste s’engage et prend position pour l’indépendance du Québec. Pour montrer son indignation, il écrit Les 100 000 façons de tuer un homme et L’Alouette en colère.
Et comme je ne voulais pas faire de chicane de famille, je suis allé aussi voir du côté de ma mère, une DION. Là encore, une capsule vidéo nous parle de cette autre illustre famille du Québec en commençant avec une certaine Céline... c'est vraiment très sympa comme formule.
Les 14 300 Dion du Québec sont pour la plupart des Guyon ! Les erreurs de prononciation ont transformé le patronyme au fil des siècles. Ils descendent de Jean, un maçon originaire de Tourouvre, en Normandie. Jean arrive ici au 17e siècle grâce aux recruteurs Giffard et Juchereaux qui convaincront pas moins de 145 futurs colons.
Les petits-fils de Jean Guyon, François et Joseph, ne sont pas des pirates mais de dangereux corsaires. C’est-à-dire qu’ils travaillent pour le roi de France : Louis XIV. Il les autorise à s’emparer des bateaux ennemis qui naviguent sur le St-Laurent et à se payer sur le butin saisi. Entre juin et août 1695, les frères Guyon capturent pas moins de 12 navires pour protéger la Nouvelle-France!
Céline Dion chante « Une Colombe » au stade olympique devant 65 000 jeunes, dans le cadre de la visite du pape Jean-Paul II à Montréal - Crédit Armand Trottier, La Presse |
Lors de la venue du Pape Jean-Paul II au stade Olympique de Montréal, en 1984, elle est choisie pour représenter la jeunesse québécoise et chante Une colombe devant 65 000 personnes. Elle deviendra par la suite la plus grande star féminine de la planète.
En tout cas, je peux dire que ça chante chez les Leclerc et les Dion, avec Félix d'un côté et Céline de l'autre!
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